• Grâce à ce petit tambourin artisanal, Jao a pu faire du bruit bien sûr, mais aussi tenter de visser et dévisser.

     

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  • Deux chansons écoutées avec les enfants cette semaine...

     

     

    Texte de la chanson - La famille tortue

     

     

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  • Depuis le temps qu'on en parlait de ce spectacle de marionnettes nous avons enfin pu le faire!

    Merci à mon fiston pour son travail sur le théatre, c'est très réussi!

     

    SPECTACLE.JPG

     

    C'est un joli conte dont les personnages sont le soleil, le froid et le vent :

     

     
    Un jour, le Soleil, le Froid et le Vent décidèrent de partir en voyage . Chemin faisant, ils commencèrent à bavarder et, comme ils aimaient bien se vanter, chacun voulut prouver à l’autre qu’il était le plus fort du monde. Le Soleil déclara :
    - Moi, j’apporte lumière et chaleur. C’est pourquoi les gens m’aiment de tout leur cœur. Mais je peux aussi être brûlant. J’assèche les rivières et rend les près arides. On me respecte et on me craint. Je suis le plus fort, c’est certain.
    En l’entendant, le Froid se mit à ricaner :
    - Arrête de fanfaronner ! Tu perds tous tes pouvoirs en hiver. C’est moi qui fais geler les rivières et se fendiller les pierres.
    Seul, le Vent ne disait rien et les suivait sur le chemin. Là, ils rencontrèrent un paysan qui revenait en sifflotant. En apercevant le Soleil, le Froid et le Vent, l’homme les salua bien bas.
    - Tu vois, dit le Froid, cet homme me rend hommage.
    - Non, c’est moi qu’il a salué, répliqua le Soleil , vexé.
    Afin de les empêcher de se disputer, le Vent demanda au paysan :
    - Dis-nous devant lequel d’entre nous tu t’es prosterné. Le Froid, le Soleil ou moi ?
    Le paysan les regarda tous les trois. Le Soleil brilla comme un sou. Le Froid fit la moue. Seul, le Vent ne fit rien du tout. Il se laissa rafraîchir au contact du Froid et souffla sur le Soleil trop ardent qu’il calma en un instant.
    - C’est toi que je salue, jolie Vent, dit alors le paysan.
    Alors, le Soleil, et le Froid, fous furieux, décidèrent de rentrer chez eux. Le Froid se cacha dans la forêt et le Soleil derrière des nuages épais. Seul, le Vent poursuivit son chemin en disant au paysan :
    - Ne craint rien ! S’ils essaient de te tourmenter, tu n’auras qu’à m’appeler.
    Et le brave homme rentra chez lui sans se faire plus de soucis.
    Mais cette année là, le Froid frappa à la porte de sa chaumière en plein cœur de l’hiver. Il gela si fort que le pauvre homme ne put mettre le nez dehors. Bientôt, les bûches vinrent à manquer et le paysan sentit se glacer son nez, ses moustaches et ses pieds. Il commença à se lamenter.

                 Ô vent gentil
                Viens me sauver
         Mon nez, ma moustache et mes pieds
         Sont tout raides et tout gelés
                Le Froid sévit
                La mort m’attend
           Ne m’oublie pas, jolie Vent !

    Alors, une brise tiède se mit à souffler. Le nez du paysan se mit à couler, ses moustaches à s’égoutter et le sang se remit à circuler dans ses pieds. L’homme commença à éternuer,  mais il ne tarda pas à se rétablir et il oublia l’incident.
    Il n’eut pas de soucis au printemps. Puis vinrent l’été et les travaux des champs. En faisant ses moissons, le paysan suait, rougissait et se desséchait tandis que le Soleil luisait. Il luisait tant et tant qu’il faillit brûler le paysan comme une tartine de pain grillé. Alors, le pauvre homme se mit à se lamenter :

                      Ô Vent gentil
                      Viens me sauver
                  Mon nez et tout ratatiné
                 Ma peau commence à se plisser
                Car le Soleil veut me brûler
                       Vent gentil
                     Viens me soulager

    Alors, une brise fraîche commença à souffler. Elle fit onduler les blés. Le Soleil se fit moins chaud. Et le paysan, ragaillardi, reprit son travail, réjoui.
    A la fin de la journée, il se coucha dans le champ en écoutant chanter le Vent à qui il dit doucement :
    - Entre toi, le Soleil et le Froid, je crois que le plus fort, c’est toi !Mais des trois, tu es le plus gentil et plus doux. Même si quelquefois tes colères peuvent-être grandes.
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  • Cette semaine nous avons fêté la musique !

    Nous avons fabriqué des instruments de musique, maracas (avec un gros oeuf surprise, des grosses pâtes et des autocollants) et un bâton de pluie (avec un rouleau de papier alu vide, du riz et de la peinture).

    Kaelen a ainsi pu articipé au conte musical que nous sommes allés voir.

    FETE MUSIQUE

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  • De nombreux sites offrent des modèles et des explications pour effectuer simplement un petit théatre, support génial pour raconter les histoires aux enfants.

    Pour commencer, j'ai choisi de raconter la fable de la grenouille et du boeuf, il nous restait donc à la mettre en scène, merci à mon fiston pour son aide...

     

    THEATRE MARIONNETTES DOIGT

     

    Il était une fois une grenouille qui se promenait près de sa mare.

    Un jour elle rencontra un moustique et elle lui demanda :

    - Mon ami le moustique, ne suis-je pas la plus belle et la plus forte du monde?

    Le moustique lui répondit :

    - Ah, si tu savais chère grenouille, tu es bien jolie mais je connais quelqu'un bien plus grand, bien plus beau et bien plus fort que toi.

    - Bah! - dit la grenouille - tu exagères, petit moustique, ce n'est pas possible. 

    Mais un jour où la grenouille bronzait au soleil, près de la mare, elle vit passer un magnifique bœuf musclé très très grand et très très fort !

    La grenouille, énervée, se met à respirer, à respirer pour gonfler son corps comme un ballon et devenir aussi grande et grosse que le boeuf. Elle se gonfla si fort qu'elle s'envola, siffla et virevolta dans le ciel comme un ballon dégonflé..

    - Quel dommage, une si belle grenouille, pffffff.... envolée à des kilomètres de la mare - pensèrent le boeuf et la grenouille.

    - Comme quoi il est inutile de vouloir ressembler à quelqu'un d'autre!

     

    D'après la Fable de Jean De La Fontaine

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